Epuisement des ressources naturelles
Publié : 25/04/2012, 11:21
Bonjour,
Science et Vie publie une enquête sur l'épuisement des ressources naturelles qui est interessant. Plusieurs produits ou métaux sont traités dans le reportage. Je n'en signale que quelques uns.
J'ai retenu que pour le pétrole le pic maximal de production a été en 2006 et que depuis le déclin commence et ce n'est pas qu'une question de cout du baril, c'est vraiment l'épuisement qui se profile.
Un chifre édifiant, dans les années 1960 il fallait dépenser en énergie UN baril de pétrole pour en produire 100, aujourd'hui avec CE baril on ne produit PLUS QUE 18 BARILS. Notez bien qu'il s'agit de la production de pétrole et non pas du carburant. Les exigences environnementales avec l'Essence sans plomb et le Gazole sans Soufre ont alourdis la consommation de pétrole (=énergie). Il faut en être conscient, je ne dis pas que ces exigences étaient déplacées.
L'épuisement du Cuivre amène a exploiter des teneurs de 1%, chose inimaginable jadis.
L'épuisement des metaux précieux dispersés partout avec les pots catalytiques est un problème critique, surtout pour les chimistes qui savent que ces métaux sont absolument irremplaçables dans certaines sysnthèses. Une géologue britannique a eu l'idée de chercher ces métaux dans les boues provenant des chaussées ou des bas côtéS et elle en a trouvé des teneurs atteignant presque celle des minerais!!!
L'Uranium est aussi dans une situation préoccupante parce que de trés nombreux programmes de construction sont en cours (en asie surtout) et qu'il faudra alimenter ces réacteurs tout en continuant de le faire pour les autres. L'uranium est un métal rare. Les surrégénérateurs seront (sans doute?) mis au point dans la fameuse IV° génération (rappel l'EPR est la III° Génération) mais en attendant on sera bien content d'avoir du Plutonium (surtout qu'il est nécessaire pour les surrégénérateurs). Curieusement Science Et Vie ne mentionne plus la filière au Thorium qu'il avait abordée il y a quelques mois..
Science et Vie publie une enquête sur l'épuisement des ressources naturelles qui est interessant. Plusieurs produits ou métaux sont traités dans le reportage. Je n'en signale que quelques uns.
J'ai retenu que pour le pétrole le pic maximal de production a été en 2006 et que depuis le déclin commence et ce n'est pas qu'une question de cout du baril, c'est vraiment l'épuisement qui se profile.
Un chifre édifiant, dans les années 1960 il fallait dépenser en énergie UN baril de pétrole pour en produire 100, aujourd'hui avec CE baril on ne produit PLUS QUE 18 BARILS. Notez bien qu'il s'agit de la production de pétrole et non pas du carburant. Les exigences environnementales avec l'Essence sans plomb et le Gazole sans Soufre ont alourdis la consommation de pétrole (=énergie). Il faut en être conscient, je ne dis pas que ces exigences étaient déplacées.
L'épuisement du Cuivre amène a exploiter des teneurs de 1%, chose inimaginable jadis.
L'épuisement des metaux précieux dispersés partout avec les pots catalytiques est un problème critique, surtout pour les chimistes qui savent que ces métaux sont absolument irremplaçables dans certaines sysnthèses. Une géologue britannique a eu l'idée de chercher ces métaux dans les boues provenant des chaussées ou des bas côtéS et elle en a trouvé des teneurs atteignant presque celle des minerais!!!
L'Uranium est aussi dans une situation préoccupante parce que de trés nombreux programmes de construction sont en cours (en asie surtout) et qu'il faudra alimenter ces réacteurs tout en continuant de le faire pour les autres. L'uranium est un métal rare. Les surrégénérateurs seront (sans doute?) mis au point dans la fameuse IV° génération (rappel l'EPR est la III° Génération) mais en attendant on sera bien content d'avoir du Plutonium (surtout qu'il est nécessaire pour les surrégénérateurs). Curieusement Science Et Vie ne mentionne plus la filière au Thorium qu'il avait abordée il y a quelques mois..
: l'eau des glaciers, servant de stockage, laquelle permet d'alimenter les lacs de montagne, les rivières, les centrales hydroélectriques, etc. Si jamais ces glaciers venaient à disparaître en raison d'un réchauffement, alors les saisons chaudes seraient une catastrophe, non seulement pour l'hydroélectricité, mais aussi pour l'eau douce. Les Québécois n'ont pas trop à s'inquiéter, puisqu'ils ont chez eux 2% de réserve d'eau douce mondiale. 